jeudi 30 août 2012

Bibliobranché



Simplement parce que j'adore cette bibliothèque.
Malgré qu'elle soit tout ce qu'il y a de moins pratique sur la Terre (Pour l'ordre, mais surtout pour le semblant de support aux extrémités de chaque tablette, qui, immanquablement, doivent faiblir à tout mouvement de livre ET de train à proximité de l'appartement), donc malgré ça, elle est vraiment beaucoup canon.

J'en profite pour linker quelques photos de bibliothèque qui me font (grave) rêver.
Évidemment, aucune de ces photos n'ont été prises par ma personne :


Parce qu'elle laisse place à l'inspiration, la liberté, tout en proposant un cadre.


Parce qu'une chaise biblio, c'est vraiment le pied.


Parce que je n'y aurait jamais pensé.



Parce que j'adorerais avoir une pièce comme celle-ci.
 Parce que c'est juste trop cool.
 

Et parce qu'il ne faudrait pas oublier nos classiques, non plus...

Avant-goût de Sally Hansen


Avez-vous attrapé la nouvelle collection que Sally Hansen propose pour les vernis à ongle ?
Moi j'étais carrément passé à côté, je l'avoue !
Mais avec cette histoire d'ongle de la dernière semaine, voilà que je ne peux y résister !

Les couleurs sont trop jolies !
Super tendance avec ses tons de pastel... j'ai craqué !

J'ai donc choisi celui de droite sur la première image, 08 Sorbet.
Je me cherchais un vernis corail ou saumon, alors on verra ce qu'il en ressortira !

Je vous promets un feedback dès que possible !

mercredi 29 août 2012

Revlon - Shape N' Buff

Je suis sous le charme.
Coup de foudre instantanné.
 
Faut dire qu'au début, j'étais septique.
 
Je racontais mon annecdote d'ongles jaunis à une cosméticienne de pharmacie.
J'avais un air quasi paniquée, le souffle court, tentant d'y aller à l'essentiel : mes ongles sont horriblement jaunes (exagération) et ma vie balance sur un fil de fer (idem).
Je lui décris quelques produits miracles vantés sur quelques blogs de filles croisés ça et là.
Des vernis déjaunissant, des vernis tonifiant, des vernis blanchissant...alouette.
Je suis alors convaincue qu'elle m'amènera dans la section des vernis, voyez.

Mais non, elle me présente une lime à ongle (je ne me lime JAMAIS les ongles. Je sais même pas comment faire à ce stade-ci de ma vie).
J'avais cette face là :

 
 Elle me dit qu'elle ne voit pas d'autres solutions à me proposer, outre un bain d'eau tiède mélangé avec de l'eau de javel (un truc radical, il me semble... et je n'avais pas envie d'abîmer mes mains que je crème depuis peu).

Alors bon, go pour la lime !

Et mon DIEU que je ne le regrette pas.
C'est ma découverte de l'année, assurément. 
Et pour la modique somme de 9.49$ en plus.
Avec ses quatre étapes, chacune ayant un côté de la lime, c'est super simple, et super efficace.

1. On égalise les ongles
2. On lisse les ongles
3. On poli les ongles
4. On fait briller les ongles

Alors en plus d'enlever la couche jaunie, j'égalisais, lissais et polissais mes ongles, jusqu'à les rendre brillant, comme si j'avais appliqué un vernis transparent. 
 
Idéal avant une rencontre de première impression pour le pitch d'un projet!
Donc finito, l'épopée des ongles moches !

lundi 27 août 2012

Jaunisse jusqu'au bout... des ongles !

Quelle horreur.
Quelle erreur.


J'ai appliqué un nouveau vernis croisé je ne sais trop dans quelle boutique.
Il s'agit du vernis L.A. Girls black light nail polish disco brites, couleur turquoise.
Et ce, sans avoir préalablement appliqué de base...
Et cinq jours plus tard, en l'enlevant, je découvre que mes ongles sont carrément jaunis par le vernis. -_-

Donc soit que je n'en mets plus jamais,
que je le jette lui et les 5$ qu'il m'a coûté,
soit j'apprends à appliquer une base avant de me vernir les ongles.

Et paresseuse comme je suis, je ne le sens pas trop le coup de la base, j'vous dis !

Sinon, mes ongles sont jaunis, c'est horrible.
Même mon Amour a fait une de ses face catastrophe.

J'ai bien essayé le truc de la pâte à dent et celui du polish à appareil dentaire, mais sans succès immédiat. 
Des astuces de copines ?

Sinon je m'achète des citrons dès demain.

Caf&bonheur

Sirote mon premier café vanille française de ma nouvelle machine Tassimo.
Le bonheur à portée de main !




Important en ce lundi après-midi.
Surtout après avoir reçu une contravention de 160$ pour un stop qui ne durait pas 3 secondes...
Et ils étaient où, ces policiers et leurs contravention, hier soir, alors qu'il y avait tous ces abrutis ?
Je me le demande...


Flash tes lumières

J'aime conduire.
Malheureusement, je déteste une majorité des gens qui conduisent, ce qui est plutôt problématique.
Ça fait de la vitesse, ça fait pas leur stop, ça brûle des lumières rouges, sans change de voie sans prévenir, bref, je les déteste.

Hier, embouteillage sur la 25 direction Montréal.
La raison est triste, gros accident. Ya les sirènes qu'on voit de loin (très loin), les policiers qui tentent de rendre le tout un peu sécuritaire et les ambulances qui font leur possible pour arriver à temps.
Alors bon, on prend notre mal en patience, nous avons la chance d'être en vie et non impliqués dans l'accident, un peu de savoir vivre serait de mise, il me semble !
Bon, évidemment, ya personne qui respecte la nouvelle loi qui veut qu'on fasse un corridor de libre, c'était à prévoir, trop nouveau, trop de traffic, trop de manoeuvre.
Sauf que ya toute cette gang de crétins de première qui dans un égocentrisme absolu décident de dépasser tout le monde par la bande, dans une voie qui n'en est pas une, histoire de sauver 10 minutes de leur pénible existance.
Et comme des CONS, ils se foutent carrément que c'est dans cette foutue voie d'accotement que sont accostés les voitures détruites, les blessés. les ambulances, les policiers, les lumières, toute quoi. 

Laissez-moi vous dire que je passe six niveaux de frustration dans le temps de le dire, et mon Amour également...
Heureusement pour notre santé mentale et physique, c'était lui qui était au volant.
Malheureusement pour lui, c'est lui qui avait la lourde tâche de ne laisser PERSONNE passer, parce que NON MAN, il est catégoriquement IMPOSSIBLE que nous te laissions passer, toi et ton âme égoïste de MARDE.
REFUS ABSOLU.

Alors au début, c'est pas si pire, les dépasseux se rendent vraiment plus loin que notre hauteur et nous n'avons pas à composer avec. On se contente de soupirer et de les applaudir sarcastiquement.
Mais ce qui devait arriver arriva, trois quatre ploucs qui se rendent compte de leur turbo imbécilité et qui décident de se ranger bien proprement, à moitié chemin.
Ceux-là, loin de les excuser, je ne peux pas leur réserver la même haine.
Je veux dire... qui peut se fâcher contre un imbécile heureux ?
Alors la madame, qui voulait se ranger devant nous, oublie ça, pas question de la laisser passer... imbécile heureuse ou pas, parce que COMBLE du manque de savoir vivre, la saloppe ne met même pas sont foutu FLASHEUR.

C'est ici et maintenant que je règle la question,
que je libère ma frustration accumulée depuis des siècles de réincarnation contre les gens qui ne mettent pas leur flasheur,
que je lui fais payer sa faute en plus de celle des autres.
Je la baptise Jeanne D'Arc, non pas en raison de sa foie, mais plutôt en raison de sa folie et du poid qu'elle porte sur ses épaules en cet instant précis.

Non, je n'ai pas crié.
Non, je n'ai pas sacré.
Non, je ne l'ai pas humiliée, ni klaxonnée.
Je me suis contentée de m'accoter à la fenêtre pour lui dire un simple "Votre flasheur, madame" qui valait bien toutes les insultes de ce monde.
Pas parce que c'est sanglant et plein de haine,
Mais parce que je lui faisais comprendre qu'elle avait tord.
Et ya tu de quoi de plus frustrant que de réaliser qu'on a tord, surtout quand on venait juste de faire notre tite face de drama-queen-offusquée pratiquée des heures devant un miroir?

Ce soir, c'est sa tite face désolée qu'elle pratiquera devant le miroir. 
En pinçant un peu les lèvres et en les sortant pour faire une face de canard.

dimanche 26 août 2012

Histoire de rideaux

Ce qui est cool quand t'achète 4 panneaux de rideaux blancs, que tu les repasse pendant 1h00, que tu fais attention pour qu'il n'y ait pas de poils de tes chats qui s'y collent, c'est de les accrocher et de te rendre compte que pour une raison inconnue yen a pas un de la même longueur. 
Quelle qualité mes amis !

samedi 25 août 2012

Devinette de réno, selon marie

Selon vous...
Qu'est-ce que donne une femme super perfectionniste qui a deux chats, dont un noir,
qui repasse 4 panneaux de rideaux blancs ?

Ça donne ÉNORMÉMENT de repassage.

Ceci étant dit, merci à mon Amour pour son application à la tâche de poser la pôle de rideaux.
Je pense que mon dernier post l'a découragé de me laisser entreprendre cette épopée seule, ce qui est franchement une bonne chose.

C'est pareille bibi qui descendait chercher les outils,
MAIS il n'y a que 6 trous cette fois, pour une pôle qui en demande 6.
Nette amélioration.
En PLUS, il est sorti faire les courses de dernières retouches...
Je l'adore. 

Morale de cette histoire : les stéréotypes, c'est parfois tout ce qu'il y a de plus sensé dans ce bas monde.
Amen.

mercredi 22 août 2012

The one with the renovation

Parce que je suis une femme tout ce qu'il y a de plus accomplie et indépendante malgré mon couple, j'ai pris l'initiative de poser moi-même ma pôle et mes rideaux dans mon bureau pendant que mon Amour passait la soirée avec ses amis.
Ça été ma première erreur,
mais je ne l'ai comprise qu'à la cinquième descente dans mon sous-sol pour aller chercher un nouvel outil.
Plus approprié qu'un marteau et un tournevis étoile (ça me prenait un carré).

En tant que novice, ma deuxième erreur était d'y aller pour la paresse.
Dans le monde de la rénovation (un bien grand mot pour mon habillage de fenêtre je sais, mais croyez-moi, c'est rapidement devenu une question de rénovation), il n'y a zéro place pour la paresse, sans quoi le résultat est médiocre.
Ça donne lieu à une multitude de petits défauts qui, séparés les uns des autres, semblent plutôt anodins, mais ERREUR, un petit défaut à la suite des autres devient un gros tas de ramassis de crochitude tout ce qu'il y a de plus éloigné de l'esthétisme.
Et je n'exagère ZÉRO.

C'est donc perchée sur un fauteuil (afin de pouvoir facilement rejoindre le côté gauche et le côté droit de ma fenêtre sans devoir descendre et tasser un mini escalier), un bloc de post-it à la main (qui prenait le rôle de règle à mesurer...), que je commençais à prendre mes mesures à la légère, en me disant que tout allait être "correct".
C'est ici, à ce moment précis, que j'ai fais mon premier trou, d'une série de neuf.
NEUF PUTAINS DE TROUS pour QUATRE vis (carrées).
Pathétique (je riais et pleurais à la fois, de façon semi hystérique semi paniquée).
Je m'disais "mais Marie, pareil, t'es cool avec ton marteau et ta bonne volonté" tout en ayant profondément honte.
Je repensais à Mélissa qui me disait que son chum posait ça en trois minutes, alors que j'en étais à ma deuxième quinzaine. 
Soupir.

Et là je vous passe les détails du gossage de p'tit cossin en plastique qu'on plante dans le mur pour ensuite y planter la vis (que j'ai sacré din vidange ben assez vite quand je me suis rendue compte que je posais toujours ben juste deux voilages, et non pas six tonnes de rideaux double épaisseur), le gossage avec la drill (j'avais utilisé la chose cette même semaine au travail pour planter deux vis et j'avais bien aimé la sensation de pouvoir que ça me procurait), le gossage de me rendre compte que mes supports à pôle n'étaient pas assez éloignés l'un de l'autre et de les enlever pour ensuite les remettre, et le gossage de pôle-trop-petite-finalement-mais-pas-envie-d'aller-l'échanger-fek-gosse-un-système-pour-faire-fonctionner-le-tout-sans-que-ça-paraisse.

C'est donc à la fin d'une belle longue heure d'ouvrage que ma pôle est installée broche-à-foin, mais la fille est ben contente pareil parce qu'elle se sent dont femme accomplie et indépendante malgré son couple.
Et mets-en que j'ai l'air cool avec un marteau dans les mains.
Surtout quand je porte mon bandeau gris dans les cheveux, avec mes boucle d'oreilles un peu bohémienne, et mon p'tit top mauve...

lundi 20 août 2012

The one with the sickness

Bon, ça fait maintenant 4 jours que je suis malade.
Je voudrais dire "à l'article de la mort", mais certains auraient trouvé ça quelque peu exagéré...
N'empêche, malade me semble être le pire euphémisme de tous les temps.

Quoi qu'il en soit, c'est aujourd'hui que je guérris miraculeusement.
D'abord, parce que j'en ai vraiment plus que marre (mais à un point tel...),
et ensuite, pour ces multiples facteurs :

1) Je m'emplois à la pensée positive et aux techniques de visualisation. Je m'imagine pètante de santé, le sourire aux lèvres, à courir dans un pré (sans insectes) avec le soleil au dessus de la tête. Je m'adresse à ma bactérie, lui ordonne de quitter le vaisseau, lui somme de disparaître de ma vie, parce que c'est MA vie, MON vaisseau. Ben... mon corps.

2) Je fais le ménage dans la maison. Un corps sain dans une maison saine, c'est pas ça qu'ils disent ? Alors go pour un peu de lavage, sortir le recyclage, aroser ma plante, ranger ici et là. Je reste dans le "pas trop forcant" consédirant ma condition, mais j'en fais un peu. En plus, ça me change les idées... parce que 4 jours en pyjamas enfermée dans sa salle de bain, ça devient long, même en compagnie des livres de Suzanne Collins.

3) J'ai envie de manger. Je n'ai jamais envie de manger, généralement. L'alimentation n'est pas mon fort, encore moins quand je suis atteinte d'une maladie inconnue (...mettons) qui me fait rejetter quasi instantanément ce que je tente d'absorber. Sauf que là, après 4 jours, ben j'ai faim et j'ai vraiment envie d'autre chose que des toasts et des biscuits soda. Alors hop, go pour la guérison instan-tannée.

J'vous en redonne des nouvelles !

mercredi 15 août 2012

Conseil numéro 1.

Fille1 : Pis, tu l'aimes ? Il te fait tripper ? T'as le goût de lui ?
Fille2 : Oui mais j'le sais pas, j'suis pas sûre...
Fille1 : Ya eu des rapprochements, quelque chose, un indice ?
Fille2 : Ben on s'est embrasé quelques fois là...
Fille1 : Écoute ma belle. Ta langue dans sa bouche = excellent point de repère. Il t'intéresse.
Fille2 : T'es sure ?
Fille1 : Prends c'que j'te dis pour du cash.Il t'intéresse.
File2 : Oui mais tsé...
Fille1 : Ta gueule. Yé 3h00 du matin, ça fait deux heures et demi que tu m'en parles en examinant chacun de ses faits et gestes et ce, APRÈS que sa langue ait été entre tes lèvres une bonne quizaine de fois, à des jours différents et totalement éloignés les uns des autres? S'il t'intéresse assez pour me faire chier jusqu'ici, il t'intéresse tout court. Bonne nuit, je t'appelle demain.
Fille 2 : T'as raison. Je l'aime. Bisous.

The one with the russian readers

Bon bon.
Paraîtrait que mes premiers visiteurs sont les Russes, selon les statistiques de mon blog.
...
Alors je vous salue, public inestimable,
fidèles lecteurs d'outre mer,
accompagnateurs hors-pairs dans ce monde de parenthèses,
fervents admirateurs de ma plume imcomparable,
et avant tout, amis passionnés de cet oeuvre impudique...
À vous, mes trois lecteurs russes,
je vous salue cordialement du Québec !

...

Eh pis pour votre information,
p'tite parenthèse,
les étudiants ici font toujours la grève (ouais ouais, ils sont tenaces les braves !)
et on est en élections provinciales.
Tout va se jouer le 4 septembre prochain les mecs.
Ouais ouais.

samedi 11 août 2012

Mal jusque dans le cerveau

La douleur est quelque chose d'horrible, que je ne supporte pas.
C'est d'ailleurs la principale raison qui fait que je ne m'entraîne pas, parce que ça fait souffrir.
J'y peut rien, j'hais juste ça.

Ça fait mal, d'abord,
Ça ne m'apporte absolument rien de positif,
Et ça me gruge une énergie incroyable, occupant la totalité de mes pensées et m'empêchant de fonctionner normalement, si normalité il y a à quelque part dans moi.

Présentement, je souffre.
J'ai un ulcère dans ma bouche qui m'empoisonne l'existance.
Et la pharmacienne qui me dit que ça peut durer 14 jours...
QUATORZE jours, j'te dis !
Je tiendrai jamais le coup...

Vous m'enverrez des fleurs han ?

vendredi 3 août 2012

Retrospective

Avant, j'écrivais beaucoup.
J'aimais ça, et je me trouvais bonne.
Maintenant, je ne le fais plus beaucoup.
Maintenant, j'ai peur qu'on me comprenne. 

À l'époque, je n'avais pas conscience qu'on pouvait me comprendre.
Je croyais bêtement qu'il n'y avait que moi pour comprendre, que les gens ne sauraient lire entre les lignes, dans un blog entre parenthèses.

Sauf que maintenant, je le SAIS que les gens ne sont pas TOUS bêtes.
Et je n'ai PAS envie que les gens comprennent toutes mes angoisses si facilement.
Pas que j'ai pas envie de m'ouvrir, vous le savez, ya pas plus grand livre ouvert que moi.
Sauf que je sais pas... je veux pas que ça soit si facile que ça.

Alors au lieu, j'écris un tas de mots qui ne veulent rien dire, et je garde mes secrets et mes fantômes pour moi.
Et c'est vraiment moins bon, puisque vraiment moins senti.

Je vais me mettre à l'écriture automatique.
Parce que je crois naïvement que je peux y cacher des choses.
On verra. 
Vous verrez (peut-être).

The one with the douche froide

J'ai chaud.
L'été, c'est un incontournable, la chaleur. 
Je veux dire, ça fait parti de la game et je deal bien avec ça.
Sauf que là, présentement, j'ai VRAIMENT chaud.

J'essaie de trouver quelque chose à dire, et ya rien qui me vient, sauf ce constat tempérique.
Je pourrais sans doute vous parler de politique, mais je n'y connais rien.
Je pourrais PAREIL vous parler de politique, parce que bien des personnes qui n'y connaissent rien en parle de toute manière et ce, sans scrupule, mais ya rien à faire, la chaleur prend le dessus sur tout le reste.
Je pourrais vous parler des Olympiques, parce que c'est un must, mais tout ce que je trouve à dire c'est : putain qu'ils doivent avoir chaud eux-autres.

J'avais écris d'autres lignes, mais je les ai effacées, parce que de un, ça revenait au même et que de deux, ça me donnait encore plus chaud. 
J'ai préféré supprimer le tout, dans l'espoir de supprimer par le fait même un peu de la lourdeur atmosphérique qui m'entoure (c'est un échec, évidemment, mais c'était de bon coeur).

Alors bon.
Je saute dans une douche froide et on n'en parle plus.
Deal ?

jeudi 2 août 2012

Rwap !

Euh ouais.
Non mais quel silence han !

Paraît que quand on a rien à dire, on ferme sa gueule.
Moi j'avais des tas de choses à dire, mais je n'ai écris que du silence.

Mais attention, tout un han !

Je me remets peut-être à la plume.
Comme je dis depuis deux ans.