Réconciliation monstre.
De quoi marquer la saison d'un gros X rouge sur le calendrier familial.
Un peu comme ça :
X
Mais en plus gros, plus massif, plus percutant que jamais.
Parce que MOI, camarades de l'univers cyber, MOI,
Marie la blogueuse, mais aussi Marie tout court (parce que c'est souvent ça que je suis en fait, une Marie tout court),
j'ai décidé, de lui laisser la vie sauve,
de tirer une trève momentanée.
Et en toute connaissance de cause en plus !
J'étais sobre, réveillée, et donc au maximum de mes capacités intellectuelles.
Et j'ai fais le choix d'épargner sa vie, à cette pétasse.
Tout commença avec son regard pesant sur ma nuque.
Sa présence dans mon cercle invisible (mais précieux)de protection.
J'entendais presque sa respiration de monstre, et de m'imaginer ça, ça me donnait déjà le frisson.
J'hasardais un coup d'oeil dans sa direction, histoire de voir de quoi il s'agissait réellement.
Et elle était là.
Elle était là, à me narguer, à me frustrer, à m'écoeurée, à faire monter mon niveau d'impatience au même rythme que ma tolérance chutait, c'est-à-dire tel un aigle d'Amérique fonçant droit sur son petit lapin blanc de Disney.
J'étais son petit lapin blanc de Disney, je l'ai su à ce moment-là.
Ça paraissait dans son attitude.
Dans son aura.
Cette chose m'en voulait personnellement, à moi.
DONC OUAIS ! Qu'elle me faisait chier !
Gratuitement, demême !
Mais moi, sage marie, je lui ai laissé la vie sauve.
C'est après une respiration profonde comme nulle autre,
une pause,
un répit,
les yeux fermés,
que je pris la décision qui allait changer ma vie.
C'est donc dans un élan de bonté démesuré comparer à ce que cette saleté représente
que je me suis emparé d'un verre en styromousse (Ya rien de plus viril, de plus puissant, de plus solide pour lutter contre un adversaire, qu'un objet bien choisi. En styromousse, qui plus est.).
C'est donc l'arme au poing et la gentillesse dans les gestes (je voulais dire dans mes yeux, mais non, c'était du dégoût qui s'y trouvait) que je me suis propulsée sur ma proie,
pour l'enfermer poliment,
avec toute la délicatesse du monde,
et aller la porter sagement dehors, dans son habitat naturel.
Saine et sauve.
Je me sentais zen, à ce moment précis de ma journée, de ma vie, faut croire.
Saleté de bibitte.
Je peux pas croire que je leur ai fait ce cadeau, à elle et son espèce, après toute cette rancune accumulée.
Un jour, je vous aurai toutes,
je vous ferai la peau,
et me sentirai comblée.
Un jour...
De quoi marquer la saison d'un gros X rouge sur le calendrier familial.
Un peu comme ça :
X
Mais en plus gros, plus massif, plus percutant que jamais.
Parce que MOI, camarades de l'univers cyber, MOI,
Marie la blogueuse, mais aussi Marie tout court (parce que c'est souvent ça que je suis en fait, une Marie tout court),
j'ai décidé, de lui laisser la vie sauve,
de tirer une trève momentanée.
Et en toute connaissance de cause en plus !
J'étais sobre, réveillée, et donc au maximum de mes capacités intellectuelles.
Et j'ai fais le choix d'épargner sa vie, à cette pétasse.
Tout commença avec son regard pesant sur ma nuque.
Sa présence dans mon cercle invisible (mais précieux)de protection.
J'entendais presque sa respiration de monstre, et de m'imaginer ça, ça me donnait déjà le frisson.
J'hasardais un coup d'oeil dans sa direction, histoire de voir de quoi il s'agissait réellement.
Et elle était là.
Elle était là, à me narguer, à me frustrer, à m'écoeurée, à faire monter mon niveau d'impatience au même rythme que ma tolérance chutait, c'est-à-dire tel un aigle d'Amérique fonçant droit sur son petit lapin blanc de Disney.
J'étais son petit lapin blanc de Disney, je l'ai su à ce moment-là.
Ça paraissait dans son attitude.
Dans son aura.
Cette chose m'en voulait personnellement, à moi.
DONC OUAIS ! Qu'elle me faisait chier !
Gratuitement, demême !
Mais moi, sage marie, je lui ai laissé la vie sauve.
C'est après une respiration profonde comme nulle autre,
une pause,
un répit,
les yeux fermés,
que je pris la décision qui allait changer ma vie.
C'est donc dans un élan de bonté démesuré comparer à ce que cette saleté représente
que je me suis emparé d'un verre en styromousse (Ya rien de plus viril, de plus puissant, de plus solide pour lutter contre un adversaire, qu'un objet bien choisi. En styromousse, qui plus est.).
C'est donc l'arme au poing et la gentillesse dans les gestes (je voulais dire dans mes yeux, mais non, c'était du dégoût qui s'y trouvait) que je me suis propulsée sur ma proie,
pour l'enfermer poliment,
avec toute la délicatesse du monde,
et aller la porter sagement dehors, dans son habitat naturel.
Saine et sauve.
Je me sentais zen, à ce moment précis de ma journée, de ma vie, faut croire.
Saleté de bibitte.
Je peux pas croire que je leur ai fait ce cadeau, à elle et son espèce, après toute cette rancune accumulée.
Un jour, je vous aurai toutes,
je vous ferai la peau,
et me sentirai comblée.
Un jour...
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