mardi 30 juin 2009

Tant de haine.

Réconciliation monstre.
De quoi marquer la saison d'un gros X rouge sur le calendrier familial.
Un peu comme ça :
X
Mais en plus gros, plus massif, plus percutant que jamais.
Parce que MOI, camarades de l'univers cyber, MOI,
Marie la blogueuse, mais aussi Marie tout court (parce que c'est souvent ça que je suis en fait, une Marie tout court),
j'ai décidé, de lui laisser la vie sauve,
de tirer une trève momentanée.
Et en toute connaissance de cause en plus !
J'étais sobre, réveillée, et donc au maximum de mes capacités intellectuelles.
Et j'ai fais le choix d'épargner sa vie, à cette pétasse.

Tout commença avec son regard pesant sur ma nuque.
Sa présence dans mon cercle invisible (mais précieux)de protection.
J'entendais presque sa respiration de monstre, et de m'imaginer ça, ça me donnait déjà le frisson.
J'hasardais un coup d'oeil dans sa direction, histoire de voir de quoi il s'agissait réellement.
Et elle était là.
Elle était là, à me narguer, à me frustrer, à m'écoeurée, à faire monter mon niveau d'impatience au même rythme que ma tolérance chutait, c'est-à-dire tel un aigle d'Amérique fonçant droit sur son petit lapin blanc de Disney.
J'étais son petit lapin blanc de Disney, je l'ai su à ce moment-là.
Ça paraissait dans son attitude.
Dans son aura.
Cette chose m'en voulait personnellement, à moi.
DONC OUAIS ! Qu'elle me faisait chier !
Gratuitement, demême !

Mais moi, sage marie, je lui ai laissé la vie sauve.
C'est après une respiration profonde comme nulle autre,
une pause,
un répit,
les yeux fermés,
que je pris la décision qui allait changer ma vie.

C'est donc dans un élan de bonté démesuré comparer à ce que cette saleté représente
que je me suis emparé d'un verre en styromousse (Ya rien de plus viril, de plus puissant, de plus solide pour lutter contre un adversaire, qu'un objet bien choisi. En styromousse, qui plus est.).
C'est donc l'arme au poing et la gentillesse dans les gestes (je voulais dire dans mes yeux, mais non, c'était du dégoût qui s'y trouvait) que je me suis propulsée sur ma proie,
pour l'enfermer poliment,
avec toute la délicatesse du monde,
et aller la porter sagement dehors, dans son habitat naturel.
Saine et sauve.
Je me sentais zen, à ce moment précis de ma journée, de ma vie, faut croire.

Saleté de bibitte.
Je peux pas croire que je leur ai fait ce cadeau, à elle et son espèce, après toute cette rancune accumulée.
Un jour, je vous aurai toutes,
je vous ferai la peau,
et me sentirai comblée.
Un jour...

dimanche 28 juin 2009

Histoire de translation.

Assise sur un coin de table de librairie, je contemple le vide en me disant « ouais putain, c'est ça la vie. Etre payée à rien faire, tout en philosophant sur la vie ». Et c'est là que ça m'a frappée. Durement. Solidement. Démesurément.

Un face-à-face avec la réalité alphabétique de ce monde.
Les yeux dans les yeux avec la bouteille de gaz à lighter (élément pratique dans une librairie puisque ce liquide miracle fait partir n'importe quel collant ou résidu d'étiquette de prix des livres. Ouais, c'est magique, je vous le dis. C'est un must, quand on vend des livres. C'est aussi un must quand on fait semblant d'en avoir et d'en vendre, des livres. Histoire d'avoir L'AIR de libraire. Tout est dans l'attitude ET les outils de travail.)

Alors bon, voici tu pas que mon petit chinois de l'Illinois a fait une faute en traduisant.
Une petit erreur grammaticale.
Un accroc anodin, presque mignon quand on y pense (Faut pas trop y penser non plus).
C'est alors que « lighter gaz » devient coquettement « un fluide plus léger ».

J'ai ris. Oh oui, je l'admet, je l'ai fais.
Sans remord.
Sur mon coin de table de librairie.
Merci, petit chinois de l'Illinois.
Grâce à toi, ma journée est enjolivée et maintenant beaucoup plus agréable à vivre.

Pas plus tard qu'une quinzaine de minutes après, alors que je me bas avec mon steak sur mon heure de lunch et déguste avec passion quelques légumes tout frais du Québec (Délicieux. Savoureux. Goûteux. Merveilleux. Un paradis oral, de quoi faire des liens avec le plaisir orgasmique et désirer créer un nouveau type de paraphilie déviante rattachée au plaisir bucal. Ya de quoi méditer.) Là, sous mes yeux, depuis déjà cinq bonnes minutes, un avertissement des plus convainquant :

« Les sacs en plastique peuvent être dangereux »(C'est vrai ! C'est vrai ! Je l'ai vu à la télé dans « le retour du sac en plastique ». Ils défonçaient des banques, kidnappaient des petites filles et vendaient de la coke dans les parcs.)

Et ça continue ainsi, dans un français impeccable : « Au danger de aviod d'asphyxie garde ce papier loin des bébés et des enfants ».
L'anglais, lui, il me propose gentilement que « To avoid danger of suffocation, keep this wrapper away from babies and children ».

Vous comprendrez mon choc.
Non seulement on utilise un mot totalement inconnu de la langue française (très chère langue française),
non seulement on me propose une phrase dépourvue de sens,
...
mais c'est qu'on me tutoie, ma parole.
En plus d'utiliser un mot inexistant dans une phrase décousue, on ose me tutoyer ?
C'est quoi ce délire.
On a grandit dans le même jardin d'enfant, peut-être ?
On a joué dans le même bac à sable, sans doute ?
NON, que je sache !
Suffit, petit chinois de l'Illinois, tu m'as vexée maintenant.
C'est ainsi que, tristement, je retourne à mon steak, déçue de perdre ce lien merveilleux que j'entretenais avec la traduction, en ce jour plus morose de librairie.
Yen aura pas de facile, qu'il disait...

samedi 27 juin 2009

Marie in Wonderland

Perdue dans mes mots.


Sur Deviantart

"If you don't know where you are going, any road will get you there."

- Lewis Carroll

Énervement

Je m'énerves.
Je m'énerves parce que de ce temps-ci, je sais plus où me foutre pour être bien, pour être zen.
Il y a pas un mois, j'étais top-shape, bien plantée dans mes souliers, à vivre mon moment présent, à me contenter d'être bien, de faire ce qui me plait, avec qui ça me plait, où ça me plait.
Et là ? Là je sais plus.
Là on arrive à me déstabiliser.
Là on arrive à me surprendre.
Et quand ça arrive, je perds pied et du coup, je ne sais plus où j'en suis.
Et c'est frustrant.

Je m'en veux, des fois.
D'avoir ces moments de faiblesse. On aimerait tous, j'imagine, être toujours fort, vaillant, solide, comme du rock. Moi j'aimerais retrouver mon bouclier, j'étais safe derrière lui.
Je déteste être vulnérable.
Je déteste être atteignable.
Parce que ça, ça signifit beaucoup trop de chose, dans mon livre à moi.

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Ya pas à dire, tu bosses pendant trois ans pour obtenir un diplôme, avec tes projets de job, d'automobile, de liberté... Tes petits canards sont bien enlignés, ils avancent d'un bon rythme, droit direction « c'est-ça-qui-faut-faire », en faisant leur stop bien comme il faut, regardent à droite, regardent à gauche, avant de repartir. Mais quand arrive le bout du trois ans, quand c'est atteint, cet objectif de vie, tu fais quoi ? Tu y reste ? Tu t'ensemance un autre projet dans le fond des trippes ? Alors voilà, la fille se lance dans une maîtrise et deux emplois, yen a pas de problèmes. Retour aux canards. Retour à « ce-qui-faut-faire ».
Yen a marre.

Reprendre son souffle. C'est peut-être ça, au fond. Un besoin de vacances, un besoin de ressourcement.
J'ai envie qu'il fasse beau à chaque fois que je met le pied dehors. J'ai envie qu'il fasse beau quand je regarde par la fenêtre et que j'ai envie qu'il fasse beau, même. J'ai envie de manger de la crème glacée jusqu'à la fin de mes jours, et que ça soit super santé. J'ai envie d'être payée pour lire au soleil, à la plage (quoique présentement, je suis payée à lire tout court, sur un coin de table... mais ça c'est autre chose :P). J'ai envie de rencontrer des gens, de parler pendant des heures, d'apprendre sur l'histoire, sur les personnages qui ont changé des choses, je sais pas... J'ai envie de goûter à tout, de toucher à tout, de tout faire, d'aller partout, de tout voir, de tout entendre. Mes envies me foutent les jetons, finalement, parce que je ne sais pas où elles me conduisent. Parce que dans ces moments-là, j'ai la (fâcheuse) tendance (un réflexe imbécile, plutôt) de courire dans tous les sens en essayant de me gaver de tout ce que je peux trouver. Ridicule.

Trop de chances de me peter la gueule, je dis.

On respire.
On se concentre.
Éviter les mouvements brusques, surtout.
Apprivoisons le tout.

jeudi 25 juin 2009

Correction rapide.

La nuit n'était PAS douce.
J'ai mal PARTOUT.
J'ai des coups de soleil HORRIBLES.
Mon bronzage est tout ce qu'il y a de plus RANDOM ever.
J'ai l'air d'un mutant FEMME-HOMARD.
Saleté de vie.
Écrire en rouge me fait sentir mieux.
Sur ce, je vais travailler.
Saleté de vie x2.

mercredi 24 juin 2009

Soleil plongeant


Deviantart.com

Ce soir, je tiens juste à dire que...

Se rendre à la plage d'Oka, par une journée ensoleillée et fériée,
ce n'est PAS une bonne idée.

Y être, c'est autre chose.
Mais de se rendre...

C'est que parfois (souvent) je me lance dans des projets qui, à la base, me paraissent être tout ce qu'il y a de plus merveilleux, de plus pétillant, de plus facile, pour me rendre compte, lorsque j'ai les deux pieds dedans, de l'imbécilité de la chose.

C'est pas que je suis plus stupide qu'une autre, c'est juste que moi et ma spontanéité on ne calcule pas toujours et on ne se rend pas toujours compte de la réalité de nos plans. On vit dans un monde d'idéaux, où par exemple, PERSONNE de sort de chez soi lors de la Saint-Jean, ENCORE MOINS pour se rendre à la plage, SURTOUT PAS puisqu'il fait beau comme c'est pas permis et que c'est une journée fériée.

Évidemment que nous serons les seules au monde à avoir l'idée.
Évidemment que nous serons les seules au monde à avoir l'audace de réaliser l'idée.
C'est donc avec enthousiasme que nous nous projetions dans ma voiture, armée de compilations musicales, sandwiches, bouteilles d'eau, fruits, serviettes de plage, gougounes, lunettes de soleil et ballon de volley, pour nous rendre au bout du monde (au bout de la 640 pour être précis) direction la plage. Nous. Ainsi que les deux milles autres voitures devant nous.

Yavait la bleue flash, celle bourrée de pré-adolescents énervés qui mettaient leur musique dans le tapis (euh mets-en que je vais mettre la mienne plus forte que la tienne, que je me suis dis. Mets-en que je suis mature. Mets-en que je l'ai faite. Mets-en que je suis débile...).

Yavait le jeep avec la madame qui se penchait pour regarder devant, mais qui aurait pu se faire ARRACHER la tête VIOLEMMENT par une voiture qui aurait passé vite (possibilité d'au moins 2.6 km/hrs, SANS EXAGÉRATION. Ça déménage, je vous le dis, alors adieu sa tête de blondasse-bronzée).

Yen avait 36 miles autres comme ça, alors vous comprendrez que je n'ai pas tout noté et que dans le moment présent, je ne m'en souviens pas. (PS: j'ai sommeil, en plus)(<--Belle défaite, je sais)

Alors c'est suite à ces kilomètres de trafic, suite à ces heures d'enfermement forcées (ah !), suite à ces, comment dire, inconforts momentanés (trois heures), que nous sommes arrivées...

PLAGE !
SOLEIL !
SABLE !
GOUGOUNES !
HOMMES BRONZÉS !
Le paradis.

Yavait aussi des kids (j'aime bien les enfants, d'ordinaire, mais pas ceux qui marchent/courent/se propulsent/atterrissent/s'enfargent/vomissent sur ma serviette de plage. Ni ceux qui détruisent mon château de sable) (ces derniers étaient habituellement plus vieux, proximité de la trentaine)

Yavait des fumeurs DANS MA FACE. (<-- l'idée c'était de changer de place lorsque ça arrivait)

Yavait aussi l'ombre. Cette maléfique puissance de la nature qui s'amusait à nous suivre, moi, mon associée de l'aventure (Vikie) ainsi que notre kiosque/installation de plage. Saloppe.

Sinon, c'était pa-re-fait.

Ah mais quand j'y repense...
Yavait cette interdiction bizarre qui me laissait perplexe. Je peux comprendre l'interdiction d'amener des animaux. Celle d'en nourrir. Ou encore celle de jeter des ordures sur le sol. Mais cette pancarte qui nous gueulait à gros coup de NONPENSES-YMÊMEPAS qu'il était interdit d'avoir des pieds.
Ou d'en porter.

Ou de les avoir à proximité de la pancarte.
C'est que je conduisais, moi. Et je ne pouvais pas comprendre comment j'y arriverais sans mes pieds. Alors bon, en badass que je suis, j'ai enfreins le règlement (ooooh que oui, juré) pis je les ai gardé, mes pieds. Ah !
Ou alors tout ça c'était dans ma tête.
Vikie était de cet avis.
Pas moi.
:)


Pour terminer la journée, les feux de la St-Jean.
Sympa comme tout.
Et c'est sur cette annecdote que je vous laisse, because le sommeil me jette des pierres à la figure, alors que mes coups de soleil me déchire le corps. La nuit promet d'être douce...

lundi 22 juin 2009

Histoire de marelle.

Selon Wikipédia (toujours le même diminutif : Wiki)
(on s'y habituera à la longue, pour le moment j'aime me répéter) :

« La marelle est un jeu pratiqué par les enfants, le plus souvent dans la cour de récréation. Pour pouvoir y jouer il faut avoir un parcours dessiné sur le sol qui va de terre à ciel. Après avoir lancé un jeton (souvent un caillou), les joueurs progressent alors dans les différentes cases à cloche-pied, tout en évitant, les cases où se trouvent les pierres, ainsi que d'empiéter sur les lignes du tracé. Le gagnant est celui qui le premier arrive à placer son jeton sur le neuf et à effectuer le parcours.

Ce jeu participe au développement de l'enfant en lui apprenant à garder l'équilibre, à améliorer son adresse et aussi à compter. »

Mmmmh...

« Participe au développement de l'enfant... »

C'est vrai que je sais compter.

C'est également un fait : j'ai de l'équilibre.

Mais pour ce qui est de mon développement... Ça reste à vérifier.

Allez j'y retourne : 1, 2, 3, ... jusqu'au [Ciel].

Blitz : mots parachutés en dehors d'un entre deux.

Bon. À ma propre demande spéciale, voici un blitz de mes envies du moment.


©2006-2009 ~thresca sur Deviantart.com

- Avoir un peu chaud.
- Sentir le soleil sur ma peau.
- Porter un top de bikini avec mes jeans.
- Ne pas oublier mes gougounes. Marcher avec elles, pour que ça fasse clap-clap.
- Sentir la crème solaire.
- Que les bibites n'existent pas.
- Bon, enfait ça serait pas bon pour la Terre, alors... je voudrais donc que les bibites ne me dégoûtent pas...
- AH JE SAIS ! Que les bibites ne soient en rien essentielles à la vie, et donc, qu'elles n'existent pas.
- Avoir trouvé ça me rend de bonne humeur.
- Retour à mon humeur normal, puisque je me rend compte que ça ne change rien au fait que les bibites EXISTENT bel et bien ET me DÉGOÛTENT.
- ... J'en étais où déjà ? ...
- Ah oui. J'ai envie de manger des cerises.
- Les cerises coûtent cher... J'ai envie qu'elles soient gratuites. Et bonnes.
- Manger un cornet de crème molle deux couleurs <-- Découverte 2009
- Aller à la plage.
- Apprendre à surfer.
- Surfer. Habillement, et avec de la classe. Idéalement.
- Être en vacances.
- Faire un roadtrip.
- Aller à New York.
- Faire un roadtrip à New York.
- Avoir de la limonade jaune <-- c'est stupide ça, parce que je n'aime pas la limonade jaune. J'aime UN PEU la rose.
- Que mon chien ne jappe pu. Qu'il sente bon. Ainsi, tout le monde l'aimerait plus facilement.
- Que les gens aiment mon chien. Haha.
- Avoir un poisson rouge.
- Qu'il soit sain d'esprit, autant que les limites du poisson rouge le lui permettent.
- Et vivant.

Sur ces belles paroles, je rêve du jour où j'aurai la force et le courage de m'occuper à nouveau d'un poisson rouge. Mon deuil de Clyde et de Clyde² (Lire ici : Août et Septembre 2007) n'étant pas complété (...haha.), je NE peux PAS envisager le renouvellement d'une telle responsabilité.

...'même pas capable de m'occuper de mon bambou...
...et mon calendrier date de l'année passée, alors ça non plus, je ne suis pas capable de m'en occuper...

Ainsi.
Je mise sur le moment présent.
Pas d'attache. Pas de responsabilité.
Juste moi à m'occuper (...).
Pas d'amour (n'est-ce pas ?).
Pas de relation (il me semble.).

J'ai :
- Une voiture.
- Un emploi dans mon domaine.
Une job étudiante comme side-line.
- Un BAC.
- Une directrice de maîtrise pour septembre (ah!)

Je veux :
- Mmmh. Coller mon nez dans le cou d'un gars.
- Que le gars porte un coton-ouaté.
- NON. Je n'ai PAS écris ça. C'est un LEURRE.
- Aller nourrir les canards avec Vikie.
- Que tout se passe bien. En général.

Assez pour le moment.
J'avais juste envie de mettre des mots ici, finalement.
Pour tenter de penser un peu moins.
Ni dans ma tête, ni dans mon cœur.
Et à go, je vais jouer à la marelle dans ma cours. À cette époque-là, on réfléchissait pas mal moins souvent.
...alors Go !

dimanche 21 juin 2009

Nostalgie obligée.

C'était à prévoir, j'irai relire mon ancien blog.
Et évidemment, j'irai retrouver d'anciennes émotions, d'anciennes images, d'anciens mots, chacun ayant leur importance là où ils sont imprimés.
Et à chaque fois, ça me remet à l'envers.

Alors bon, j'ai hésité, beaucoup, à recopier certaines pages de mon ancien blog ici.
Parce que je l'aime, parce que ça voulait souvent dire beaucoup, pour moi.
Sauf que je ne peux pas.
Je ne vais pas.

Parce que.

Parce que c'est derrière, parce que ça a déjà été dit, déjà été vécu.
Parce que chaque chose à sa place, et maintenant, on repart pour du neuf.
Et c'est bien comme ça.

Sauf que toujours, ces mots ont existé.
Et que pour toujours, je m'en souviendrai.

Mon ancien blog ici

Alors bon. Cette parenthèse-là est terminée, j'en réouvre maintenant une nouvelle.
Et puis ben on verra !

Le commencement

Selon Wikipédia (diminutif Wiki) :

Les parenthèses sont deux caractères typographiques « ( » et « ) », appelés respectivement parenthèse ouvrante et parenthèse fermante, entre lesquelles on place le mot ou la proposition que l’on souhaite isoler.

Voilà, tout est dit, ou presque.

Entre mon cœur et ma tête, il existe un tas de parenthèses.
Et dans chacune d'elles, un paquet de mots, d'images, d'idées, qui s'isolent, qui m'isolent.
Et à travers tout ça,
entre parenthèses,
entre deux mondes,
entre deux mots,
il y a moi.

Moi qui se balance,
moi qui hésite,
moi qui choisit.

Alors bon, on verra ce que ça donnera !