Quand j'étais jeune, j'adorais deux choses qui étaient intimement liées l'une à l'autre.
La première, c'était de me balancer. J'aurais pu répéter l'expérience des journées durant, sans me tanner. En réalité, mes parents s'impatientaient toujours avant moi, ce qui était rare n'étant moi-même pas très patiente de nature.
L'autre chose, c'était la chanson S'en balancer, de Liane Foly. En fait, je croyais qu'il s'agissait d'une chanson racontant l'histoire d'une fillette qui se balançait infiniment, jusqu'aux étoiles, touchant la pointe de la Lune.
Finalement, ça jase d'une fille pathétique complètement éperdue d'un mec qui, elle l'espère ardemment, se pendra à son cou en oubliant leurs querelles passées.
J'aimais définitivement mieux ma version.
Qu'importe.
Tout ça pour dire que moi, j'ai ça dans les tripes, l'effet du balancement.
Et c'est pourquoi, à mon avis, je me balance continuellement entre des décisions et des choix déchirant. La couleur d'un Ipod en faisant partie, je le précise.
Après trois mois de réflexion, j'en suis arrivée à certaines conclusions :
- Je met de côté ma maîtrise.
- Je me cherche un appartement.
Effet bang, suite au balancement.
Parce qu'aussi, ce que je n'ai pas précisé, c'est que j'adorais me laisser tomber du haut de la balançoire, pour retomber intacte, sur le sol, avec un grand bang.
Je me sentais drôlement grande, à l'époque, alors qu'aujourd'hui, je me sens toute petite pour faire ce bon d'adulte.
J'aurai probablement besoin de support et de conseils,
ce que je supporterai à peine conseillant moi-même aux gens de ne pas s'en mêler.
Le secret, c'est que j'écoute attentivement le tout, malgré mes airs lointains.
Ne me lâchez pas.
Me laisser tomber d'une balançoire, c'est une chose, mais sauter d'une vie à l'autre, ç'en est une autre.
La première, c'était de me balancer. J'aurais pu répéter l'expérience des journées durant, sans me tanner. En réalité, mes parents s'impatientaient toujours avant moi, ce qui était rare n'étant moi-même pas très patiente de nature.
L'autre chose, c'était la chanson S'en balancer, de Liane Foly. En fait, je croyais qu'il s'agissait d'une chanson racontant l'histoire d'une fillette qui se balançait infiniment, jusqu'aux étoiles, touchant la pointe de la Lune.
Finalement, ça jase d'une fille pathétique complètement éperdue d'un mec qui, elle l'espère ardemment, se pendra à son cou en oubliant leurs querelles passées.
J'aimais définitivement mieux ma version.
Qu'importe.
Tout ça pour dire que moi, j'ai ça dans les tripes, l'effet du balancement.
Et c'est pourquoi, à mon avis, je me balance continuellement entre des décisions et des choix déchirant. La couleur d'un Ipod en faisant partie, je le précise.
Après trois mois de réflexion, j'en suis arrivée à certaines conclusions :
- Je met de côté ma maîtrise.
- Je me cherche un appartement.
Effet bang, suite au balancement.
Parce qu'aussi, ce que je n'ai pas précisé, c'est que j'adorais me laisser tomber du haut de la balançoire, pour retomber intacte, sur le sol, avec un grand bang.
Je me sentais drôlement grande, à l'époque, alors qu'aujourd'hui, je me sens toute petite pour faire ce bon d'adulte.
J'aurai probablement besoin de support et de conseils,
ce que je supporterai à peine conseillant moi-même aux gens de ne pas s'en mêler.
Le secret, c'est que j'écoute attentivement le tout, malgré mes airs lointains.
Ne me lâchez pas.
Me laisser tomber d'une balançoire, c'est une chose, mais sauter d'une vie à l'autre, ç'en est une autre.
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