dimanche 7 février 2010

S'échapper.

L'angoisse qui me tord les amygdales, jusqu'à en faire trembler mes mots.
...
Le silence obligé, il ne reste que mes larmes pour te parler.
...
Ces mots qui m'échappent et te rattrappent.
...
Et ne m'appartiennent plus.

Et tout le reste, effacé sous mes doigts.
Quelques centaines de mots pour décrire un Adieu impossible.
Pour parler d'un lien invisible.
Racontant l'histoire d'une liaison imaginée.

Et Bélanger qui tourne en boucle.

«Et le soleil brille, le ciel est bleu
Demain sera fait de mieux
De jour en jour, ca s'améliore
Je fais tout tout de mon plus fort
Je sais que le vent tourne
Je le sens aussi et ca me retourne»


Je suis déçue, j'avais écris un texte franchement incroyable, mais l'ordi à tout bouffer comme un con. Je balance entre la frustration, la déception et le découragement. Je vais donc me coucher avant de me mettre à brailler en mangeant de la crème glacée (que je n'ai d'ailleurs pas...) sur mon divan, la face rouge et couverte de larme, la morve au nez, la gueule défaite, dans ma un peu trop grande chemise carottée que je vais garder pour la nuit. À plus, vous trois.

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